Selon l’artiste, « la respiration “visuelle” permet d’ouvrir les fenêtres imaginaires sur le monde des couleurs et des formes. Le regard humain ne peut saisir l’univers que de manière infiniment partielle, très éclatée. Notre vision du monde n’est qu’une série de fragments, plus ou moins assimilés par notre cerveau ». En tant qu’artiste, Masha tente de comprendre et de transmettre sa propre vision de notre univers. Elle peint à la manière d’une fourmi qui escalade un tronc d’arbre : il y a des détails qu’elle arrive à embrasser de son regard et d’autres qui lui échappent fatalement, mais elle continue d’avancer.
Les œuvres de Masha font désormais partie de plusieurs collections autant privées que publiques, dont celles du musée d’Art de Bahreïn, du musée des Beaux-Arts de Tcherkassy, des musées d’art contemporain de Moscou et de Dnipropetrovsk, de la Fondation des Alliances françaises à Paris et de la Fondazione il Fiore à Florence.






